Chronologie – Histoire de Lyon et du Lyonnais

Aux origines

-10 000 à -5 500 A la fin de la Préhistoire (Mésolithique), premières traces d’occupation humaine et pratiques religieuses sur la colline de Fourvière. Présence de silex taillés et de chasseurs-cueilleurs dans la plaine de Vaise.

-5 500 à -4900 durant le Néolithique premières traces de poteries, agriculture. Peuplement haplogroupe I2 venu du Nord. Joseph Henriet identifie un peuple préindoeuropéen, les Arpétars (habitants qui vivaient sous les rochers) des montagnards des vallées alpines de tradition orale qui s’exprimaient en arpétara.

Influences méditerranéennes peuplement haplogroupe G remontant par le Rhône.

Age du bronze : peuplement R1b – La population locale est composée de sédentaires et agriculteurs (type matriarcal), les conquérants centrés sur l’élevage (patriarcal).

1er âge du fer (Hallstatt) -750 à -400 Culture gauloise à Lyon : traces d’habitats, espaces funéraires, premières amphores et céramiques importées . Fondation de Marseille par les Phocéens.

2nd âge du Fer (La Tène) à partir de -400 Lieux de rassemblements publics celtes sur la colline de Fourvière. Enclos, fossés et traces de festins (-200).

– 115 Présence d’un comptoir commerçant romain à Lyon.

-121 à -118 Conquête de la Gaule transalpine. Fondation de Narbo Martius (Narbonne) première province romaine de Gaule.

-58 à -50 Conquête de la Gaule « chevelue » par Jules César.

-52 Défaite de Vercingétorix à Alésia.

-44 Révolte des Allobroges à Vienne.

Gaule romaine

-43 Munatius Plancus fonde Lugdunum « dunum : en langue celte colline ou forteresse, Lug la lumière ». Vienne devient une ville étape pour se rendre à Rome. Une partie de la population viennoise Allogroge se réfugie à Lyon suite à des conflits et invasions. Lugdunum selon les plans romains devait servir le commerce au sud, préparer l’invasion de la Germanie et de la Bretagne.

10 octobre -43 – 7h49 : 1er Jour de l’an lyonnais.

Grâce à son réseau fluvial et routier, Lyon ne tarde pas à devenir Capitale des Gaules. Lugdunum compte 4 voies terrestres majeures : La Voie de l’Océan (Nord), la Voie de l’Aquitaine (Ouest), la Voie d’Italie (Est), la Voie de Narbonnaise (Sud).

La colonie romaine compte près de 50.000 habitants à Condate (rives de Saône qui abritent l’artisanat), la Canabae (au sud devient le centre commercial et le lieu de résidence des négociants étrangers).

Le village celtique Condate au pied de la Croix-Rousse est réunit avec Lyon.

-16 -13 Lugdunum capitale de la province Lyonnaise (Auguste).

-12 Inauguration du sanctuaire du Confluent (actuelles pentes de la Croix-Rousse). Réunion annuelle des notables des Trois Gaules.

-10 Naissance à Lyon du futur empereur Claude.

19 construction du Théâtre, forum, l’Odéon et les thermes sur la colline de Fourvière (Vieux Forum), nécropole et amphithéâtre des Trois Gaules à la Croix Rousse.

39-40 L’empereur Caligula s’arrête à Lyon et fait assassiner son cousin le roi amazigh Ptolémée de Maurétanie fils de Juba II.

64 Incendie de Rome par Néron.

68 Siège de Lyon par les Viennois opposés à Néron.

160 Inauguration du sanctuaire de Cybèle (prétoire d’Agrippa) sur le plateau de la Sarra.

177 Les premiers chrétiens s’installent à Lyon. Pothin est le premier évêque de Gaule. Révolte et martyrs de 48 chrétiens assimilés à une secte juive par Marc Aurèle. L’esclave Blandine est livrée aux bêtes sauvages dans l’amphithéâtre. Les chrétiens sont livrés aux lions et asphyxiés.

197 Bataille entre les troupes d’Albinus et l’empereur Septime Sévère à l’ouest de Lugdunum.

212 L’empereur romain amazigh Caracalla né à Lyon accorde la citoyenneté romaine (constitio antoniniana) à tous les habitants libres de l’Empire.

274 Révolte des Lyonnais. Répression de l’empereur Aurélien.

300 Lyon est rétrogradée en capitale de la province réduite, la Lyonnaise première (Doclétien).

313 L’Edit de Milan autorise le culte chrétien dans l’Empire.

Royaume Burgonde – Haut Moyen Âge

470-474 Invasions burgondes de Lyon.

476 Chute de l’Empire Romain (prise de Rome par Odoacre), Lyon entre dans une longue période médiévale dominée par le christianisme.

481 Création du Royaume de France. Lyon appartient au Royaume de Bourgogne.

Épidémies de peste – La population décroît fortement (15.000, 18.000 habitants). Invasions et famines.

534 Conquête franque et fin du royaume burgonde.

567-570 Réunion d’un concile à Lyon.

644 Fondation de l’abbaye bénédictine de St-Just.

725-734 Incursions sarrazines arabo-amazighes dans la vallée du Rhône et la vallée de l’Azergues.

778-814 Règne de Charlemagne

793-840 Renaissance carolingienne.

IXe – La population se concentre sur les rives de Saône réunies par un pont de bois qui relie St-Nizier à la place du Change.

840 Effondrement du forum

843 Lyon est rattachée à la  Lotharingie par le traité de Verdun.

872 Lyon devient la capitale du royaume de Provence.

942 Le duché Lyonnais-Viennois est cédé au Royaume d’Arles.

992 Lyon et le royaume d’Arles deviennent fief du Saint-Empire Germanique.

1079 L’archevèque de Lyon devient Primat des Gaules.

1083 Traité entre Humbert, archevèque de Lyon, et Artaud IV, comte de Forez, qui donne entre autres, le droit à l’archevèque de battre monnaie.

Des moines s’installent sur l’Ile Barbe IX-Xe – Eglise Saint-Jean (Saint Irénée).

XIIe Eglise Saint-Martin-d’Ainay – Cathédrale Saint-Jean Construction du premier pont sur le Rhône.

1167 Le comte du Forez abandonne le titre de Comte de Lyon aux chanoines jusqu’à la fin du XIIè siècle.

1170 Vaudès (Pierre Valdo) fondateur de la Fraternité des Pauvres de Lyon précurseur du protestantisme, commande une traduction des Évangiles et d’autres livres de la Bible dans la langue locale, l’arpitan. Avec leur Bible, Vaudès et ses disciples prennent d’assaut les rues de Lyon. Les Pauvres de Lyon, comme on les appelle, vont à Rome demander l’autorisation officielle de prêcher en 1179. Pour leur persistance à prêcher dans les rues de Lyon, les Vaudois sont persécutés et forcés à quitter la ville. Pierre Valdo trouve refuge en Arpitanie Piémontaise où il donne naissance à l’Eglise vaudoise.

Torture des Vaudois

 

1190 Le pont du Rhône est détruit par le passage des armées de Richard Coeur de Lion lors de la 3e Croisade.

1193 Le château de Pierre-Scize devient la demeure de l’archevèque de Renaud de Forez.

1196 Première charte de Ville donnée à Lyon par le comte-archevèque.

XIIe – XIIIe Premières traces écrites en langue arpitane, à Lyon. Texte la Vie de sainte Béatrice d’Ornacieux de Marguerite d’Oingt.

Plaque en hommage à Marguerite d'Oingt à Oingt, village de la vallée de l'Azergues. Photographie Wikipedia

 

1269 Nouveau conflit entre l’archevèque et les bourgeois. Les familles bourgeoises se dressent contre la suprématie ecclésiastique.

1271 Philippe III le Hardi place Lyon sous sa protection.

Fin du Moyen Âge lyonnais

XIIe-XVIIIe Hôtel-Dieu.

1311 Le fils ainé du roi, Louis X, s’empare de Lyon.

1312 Philippe le Bel rattache Lyon au royaume de France par le traité de Vienne.

1329 Grande Rebeyne (révolte).

1348-1382 Peste Noire.

1349 Rattachement du Dauphiné à la France.

1420 Premières foires de Lyon.

1464 Arrivée des banquiers florentins, les Médicis, venus de Genève.

1472 Installation des premiers imprimeurs (Barthélémy Buyer, d’origine allemande) seulement 20 ans après l’invention de l’imprimerie par Gutenberg.

1475 Parution à Lyon du premier livre imprimé en français « Le livre des merveilles du monde » qui racontent les aventures de Marco Polo. A la fin du XVème siècle un livre sur trois qui est édité en France sort des imprimeries lyonnaises dont les ateliers sont regroupés rue Mercière.

XVIe Eglise Saint Nizier – Eglise Saint Just – Villa Gadagne.

De nombreuse églises protestantes seront profanées lors de la Réforme protestante dirigée par le Baron des Adrets.

Epoque Moderne, l’âge d’Or de la ville

La population triple entre le XVIe et le XVIIIe siècle.

L’artisanat textile emploie 12.000 personnes.

1525 Un marchand découvre la «Table claudienne» discours qui permet aux Gaulois d’accéder au cursus sénatorial.

1531 Création de l’Aumône générale par Jean Kleberger (l’ »Homme de la Roche »)

Thomas de Gadagne finance l’expédition entre la floride et la Terre-Neuve de l’explorateur Verrazzano.

1540 La première bourse française voit le jour à Lyon.

XVIIe La tour sud de l’Eglise Saint Nizier est achevée – Palais Saint-Pierre – Hôpital de la Charité (il n’en reste aujourd’hui le beffroi) – Saint-Bruno-des-Chartreux – Saint-François-de-Sales – Portail de Saint-Nizier – Palais Saint-Pierre rebâti.

XVII-XIXe Eglise Saint-Polycarpe.

La Loge du Change centralise les transactions financières avec l’économie qui prospère.

Les ponts se multiplient. Les bourgeois étendent leurs domaines (vignobles et élevages) à l’ouest le long des axes fluviaux.

1651 Hôtel de Ville.

1667 Première « Petite école des pauvres » initiée par Charles Démia, académie pour les enfants pauvres.

1678 Création de la communauté de Saint-Charles pour former les maîtresses d’Ecole

1728 Le Grenier d’Abondance permet de stocker une année de blé pour toute la ville de Lyon.

1740 Présentation du thermomètre de Lyon inventé par Jean-Pierre Christin.

1771 Création de la « Compagnie des intéressés aux Travaux du Midi » d’Antoine-Michel Perrache.

1789-1793 Révolte paysanne et royaliste des Muscadins contre-révolutionnaires. Hostilité des ouvriers contre les «gros négociants et leurs serviteurs musqués» au sein de la Grande Fabrique de la Soie.

16 juillet 1793 Chalier, chef des Jacobins est guillotiné. La Convention déclare Lyon ville rebelle.

8 octobre 1793 – Siège de Lyon par l’armée de la Convention « Armée des Alpes » qui massacre les troupes lyonnaises du Général François Perrin de Précy. Les lyonnais Muscadins sont dépouillés de leurs biens et déportés. Remplacement du peuple arpitan.

Après 1789 la ville s’étend hors les murs. Les terrains ecclésiastiques sont vendus (Croix Rousse autour de l’église de Saint-Martin-d’Ainay). La population quadruple dans les faubourgs de la Croix Rousse, la Guillotière et Vaise.

L’ère industrielle

1801-1805 Mise au point du métier Jacquard, métier à tisser mécanique conçu par Joseph-Marie Jacquard.

1808 Université Lumière – Loi sur l’alignement des voies structure les nouveaux quartiers et la rive gauche s’urbanise. La Guillotière et les Brotteaux (arbustes) marquent l’identité moderne de Lyon. La Presqu’île est aérée par l’ouverture de la rue de la République.

Naissance du théâtre de Guignol, personnage de saynètes populaires en parler populaire arpitan inventé par Laurent Mourguet qui se produit aux Brotteaux.

Mère Cottivet Théâtre de Guignol

 

1818 Le lyonnais Benjamin Delessert crée à Paris La Caisse d’Epargne.

1820-1836 André-Marie Ampère précurseur de la mathématisation de la physique, l’un des derniers savants universels, crée le vocabulaire de l’électricité, invente le télégraphe électrique et l’électroaimant.

1823 Construction du premier pont suspendu de l’inventeur rhôdanien Marc Seguin. Ses entreprises bâtirent près de 200 ponts, percèrent le plus long tunnel de leur temps et aménagèrent la première infrastructure ferrovière française entre Lyon et Saint-Etienne.

1828 Pierre-Simon Ballanche – Essai sur les institutions sociales.

Novembre 1831 Révolte ouvrière des Canuts. Les ouvriers de la soie se retrouvent dans la misère à la Révolution et doivent vendre les breloques en or et en argent de leurs cannes de compagnonnage et se retrouvent cannes nues. A Lyon le tissage et la soie font vivre la moitié de la population. Charles Fourier combat dans les rangs des insurgés fédéralistes lyonnais.

Décembre 1831 Le gouvernement français décide la construction d’un fort pour séparer la Croix-Rousse de la ville de Lyon. 90 ouvriers sont arrêtés, dont 11 qui seront poursuivis en justice et qui seront acquittés en juin 1832

1831 Opéra.

1832 Mise en place de la ligne ferrovière Vienne-Lyon.

Avril 1834 – avril 1835  Deuxième révolte des Canuts. La deuxième grande insurrection des canuts est matée dans le sang. Plus de 600 victimes sont à déplorer. 10 000 insurgés faits prisonniers seront jugés dans un « procès monstre » à Paris en avril 1835, et seront condamnés à la déportation.

Navires à vapeur sur la Saône, éclairage au gaz, sidérurgie, chimie et transformation des métaux au sud de Lyon (Feyzin et Oullins).

1836 L’Alsacien Georges Hoffer ouvre sur le cours Verdun-Perrache l’une des plus anciennes brasserie européenne la Brasserie Georges, « La Georges ».

1847 Palais de Justice.

1848-1849 Insurrection des Voraces après l’abdication de Louis-Philippe violemment réprimée.

8 décembre 1852 Les autorités religieuses lancent un concours pour la réalisation d’une statue au sommet de la colline de Fourvière. C’est le sculpteur Joseph-Hugues Fabisch qui réalise cette statue dans son atelier des quais de Saône. L’inauguration initialement prévue le 8 septembre 1852 est repoussée au 8 décembre en raison d’une crue de la Saône.

1857 Gare de Perrache – Parc de la Tête d’Or.

Début de l’assèchement de la pointe marécageuse de la Presqu’île.

1860 Palais de la Bourse.

10 décembre 1860 Le Père Antoine Chevrier crée, dans un faubourg de Lyon, la Guillotière, une Œuvre de première communion pour les jeunes garçons et filles pauvres du quartier.

16 août 1861 La lyonnaise Victoire Daubié première bachelière de France.

1863 Henri Germain, fils d’un soyeux crée le Crédit Lyonnais dont l’objectif est de collecter l’épargne dormante pour financer l’industrie. Lyon doit aussi au Crédit Lyonnais, le « crayon » de la Part-Dieu, tour circulaire de quarante-deux étages édifiée de 1972 à 1977.

1870 Le linguiste italien Graziadio Isaia Ascoli regroupe les parlers arpitans dans une famille linguistique qu’il appelle franco-provençal.

1879 Inauguration du Musée Émile Guimet.

1884 Basilique de Fourvière.

1888 Eglise Saint-Blandine, la seule église baroque de Lyon.

19 mars 1895 Naissance du cinéma à Lyon. Invention du cinématrographe et tournage du premier film des Frères Auguste et Louis Lumières « Sortie d’usine »

1920 Stade Gerland.

1923 Léon Bérard ouvre le Centre de Lutte contre le cancer.

1925-30 Quartier des Gratte-Ciel à Villeurbanne.

1926-1936 Fêtes du Rhône fondées par Gustave Toursier.

1928 Halle des Abattoirs de la Mouche (Tony-Garnier).

Création du Musée du Rhône à Tournon.

1933 Hôpital Edouard-Herriot.

Durant la 2ème Guerre Mondiale Lyon devient la capitale de la presse secrète et abrite les réseaux de la Résistance.

1943 Aubert Frère (qui a donné son nom à l’ancienne vitriollerie, appelée Quartier Général-Frère) gouverneur militaire de Lyon d’août 1940 à juillet 1941, prend dans la clandestinité la tête du mouvement de l’Organisation de résistance de l’Armée (ORA). Arrêté le 13 juin, il meurt au camp de Struthof.

21 juin 1943 – Jean-Moulin qui vit en clandestinité rue Commandant Charcot (Lyon 5e) est arrêté au « rendez-vous de Caluire ». Il meurt en déportation. Mémorial de Caluire.

19 septembre 1944 – André Philippe, deux semaines après la libération de Lyon, fonde au 7 rue des Marroniers (Théâtre des Marroniers) la « République des Jeunes » qui donnera naissance quatre ans plus tard à la Fédération Française des Maisons des jeunes et de la culture (les actuelles MJC).

Après la seconde guerre mondiale, les industries textiles et du cuir laissent la place à la chimie. Raffinerie de Feyzin. L’industrie automobile se maintient (Berlier).

1950 Fondation de Notre-Dame-Des-Sans-Abri à la Guillotière par Gabriel Rosset et l’Abbé Pierre. Fin des bidonvilles.

1952 Tunnel de la Croix-Rousse.

Hiver 1954 – Insurrection de la bonté du lyonnais Henri Grouès dit l’ »Abbé Pierre ».

1957 Sur la voie decumane lyonnaise actuellement la rue Cléberg, en haut de la colline de Fourvière, un médaillon a été mis pour l’année du bimillénaire de Lyon, pour garder la mémoire de l’évènement de la fondation de la ville, au croisement du decumanus et du cardo.

1960 Projet urbain de la Duchère – Installation des Rapatriés d’Algérie.

1964 Le Vieux-Lyon est protégé.

1965 Piscine du Rhône.

1970 Les termes arpitan et arpian qui signifient montagnard pour le premier, berger pour le second sont employés pour répondre au besoin de lever la confusion générée par le terme francoprovençal.

1975 Musée Gallo-Romain.

1978 Ligne A et B du métro.

1983 Construction de la Gare de la Part-Dieu.

1988 Anne-Marie Vurpas initie avec Gérard Truchet des cours de Parler lyonnais

2003 Création de l’association loi 1901 Les Amis du FRANCOPROVENÇAL en Pays Lyonnais Saint- Martin-en-Haut (Monts du Lyonnais)

2006 Cité Internationale.

2007 Aménagement des Berges du Rhône.

Tintin est traduit en arpitan.

2009 Le Conseil Régional Rhône-Alpes (lire l’article exclusif sur Lyon Info) s’engage en faveur de la diversité linguistique pour reconnaître l’intérêt social, culturel et patrimonial de l’arpitan

6 et 7 juin 2009 Les membres de l’ONG arpitane réunis à Bionaz élaborent un hymne arpitan

Gare Jean Macé.

2010 Début des logements du quartier des Confluences et la Sucrière. La ville présente trois pôles économiques la Part-Dieu, la Cité Internationale et Gerland.

Parution d’une anthologie bilingue de littérature franco-provençale et occitane en Rhône-Alpes

2013 Charte de l’Indépendance arpitane (lire la Charte sur Lyon Info) –  La ville de Lyon aux piétons et modes doux de circulation dans la ville.

2015 Musée des Confluences.

Chronologie élaborée par Stéphane ARRAMI

 

Ressources :

Histoire de Lugdunum à Confluences par Marion CLUZEL Les rues de Lyon N°6 Juin 2015

Le Lyonniste – Lacivilisationlyonnaise.wordpress.com

Henry Joly, Petite histoire de Lyon et du Lyonnais 1944 persee.fr/doc/geoca_1164-6268_1946_num_21_1_5236

Presse ancienne du Rhône en langue arpitane

Nos ancêtres les Sarrasins des Alpes – Joseph Henriet – 2002